De traductrice depuis 30 ans à écrivaine publique depuis peu, formée et agréée à l’AEPF, j’adopte simplement une autre manière d’écrire.
De mes premières amours linguistiques, que je ne délaisse pas tout à fait, je garde l’attrait de la rédaction, des phrases clés, de la transmission d’une idée, d’une pensée.
Suite à une introspection salvatrice, débouchant sur une remise en question de mes pratiques, je décidai de m’essayer à la profession d’écrivaine publique.
Le métier parfait pour associer ma nature empathique à mes compétences professionnelles : aisance rédactionnelle, appétence pour le contact humain et la communication interculturelle, écoute active, bienveillance et rigueur.
Je démarre en novembre 2024 au sein d’une association de quartier de Colmar, où je tiens une permanence hebdomadaire. J’y côtoie des usagers de tous vents, attachants, les besoins sont variés, les tempéraments aussi, la permanence est un sas de parole, un lieu de partage, d’échanges, parfois un exutoire, avec toujours un sourire, un goût de revenez-y, pour eux comme pour moi.
Comme dans mes engagements associatifs, j’apprécie ici l’acte d’aider, d’accomplir quelque chose d’utile, de leur permettre d’avancer dans leurs démarches.
L’écrivain public, vous l’aurez compris, est un peu philanthrope, sans les moyens financiers d’un Bill Gates ou le renoncement religieux d’une sœur Emmanuelle. Une petite dose suffit, en l’occurrence, un courrier, une démarche, un site internet, une retranscription, une correction…
Vous aussi, vous avez besoin d’aide pour mettre en mots vos idées, vos pensées, vos amours, vos impôts !?
Un coup de fil, un email, un devis, un écrit, un sourire : c’est une charge mentale en moins pour vous et un réel plaisir pour moi.
À bientôt !