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Une tentative d’escroquerie en ligne très « en vogue » actuellement – « l’arnaque du trop-perçu » – cible aussi des écrivains publics.

Le principe de « l’arnaque du trop-perçu » est une variante d’une escroquerie au chèque volé. Le principe est simple. Un client vous demande en ligne un devis pour une prestation. Pour brouiller les pistes, il peut même vous demander un RIB pour le versement de l’acompte.  En réalité, vous recevez peu après un chèque bancaire d’un montant supérieur à celui de l’acompte demandé. Une membre de l’AEPF en a reçu un dont le montant était dix fois celui prévu par le devis ! Il s’agit, bien entendu, la plupart du temps, d’un chèque volé. L’escroc tentera ensuite d’obtenir le remboursement du trop-perçu… par virement cette fois. Et il le fera très rapidement, dans les dix jours. Il faut en effet savoir qu’un délai de dix jours minimum est nécessaire à compter de la date du dépôt d’un chèque pour savoir si celui-ci est solvable, c’est-à-dire qu’il n’a pas été volé ou que le compte débiteur est suffisamment provisionné. Il ne faut donc jamais rembourser ou dépenser cette somme avant ce délai.

L’arnaque en cours est « l’œuvre » d’un certain Achilles (sic) Poirier de la société BDM et promoteur du produit TNT dont les pratiques ont déjà été signalées sur un site spécialisé.  N’hésitez pas à faire un signalement sur ce site si vous êtes la cible d’un arnaqueur du web.

Voici le courriel à l’origine de l’escroquerie